Un chœur de spectres rieurs, de revenants sarcastiques pour parler de la mort... donc de la vie. Surgissent sans cesse, farceurs et gouailleurs, dans un grand déballage d’humour.
Sachant aussi être plus âpres, ces figures grotesques nous confrontent à notre maladresse face à la mort.
Avertisseurs plutôt sonores comme ceux de la fête des morts mexicaines ou ceux de la fête médiévale des fous, ils jouent à la mort comme on joue aux dés, ils jouent avec la mort un peu comme au cirque, avec masques, ombres, accessoires redimensionnés et marionnettes. Et surtout avec musique : piano à bretelle ou sans, soubassophone, guitare et percussions.
La leçon est claire : vivez si m’en croyez, n’attendez à demain !